L’Ame luxe, la star des couteaux
La manufacture familiale Claude Dozorme n’a de cesse de proposer une coutellerie toujours plus audacieuse, inventive et empreinte des codes de la haute couture ou de la joaillerie.
Aux 4 coins du monde, nombre de prestigieux établissements (La Tour d’Argent à Paris, Hôtel Royal d’Evian les Bains ou Jean-Georges à New-York pour ne citer qu’eux) n’hésitent pas à habiller leurs tables de couteaux griffés de la célèbre marque à la tête de loup.
C’est pour cette nouvelle clientèle, dont le luxe est une réalité quotidienne, que la manufacture a imaginé un tout nouveau couteau baptisé « L’Ame Luxe ».
Une nouvelle création signée Thomas Bastide
Pour cette dernière création, la coutellerie Claude Dozorme s’est rapprochée une fois de plus de Thomas Bastide, designer de renom. Après avoir réinterprété par deux fois déjà Le Thiers®, Thomas Bastide récidive avec une déclinaison du modèle Shadow.
Couteau atypique, le Shadow offre 2 manches asymétriques en Bakélite. Pour cette nouvelle version, il a souhaité substituer une des côtes du manche par une pièce beaucoup plus fine et luxueuse. Habitué à travailler le cristal, Thomas Bastide a donc eu l’idée d’ajouter une pièce de métal taillée comme un diamant à facettes. Pour cela, il s’est inspiré d’une taille existante dans le cristal des lapidaires : la taille diamant pierreries qu’il a appliqué à l’une des côtes en nickel apposée sur ce nouveau couteau Le Thiers®.
Le travail réalisé par le designer sur la face du manche est digne d’un travail d’orfèvre. Une véritable déclinaison haute-joaillerie !
Le dos du manche est proposé en bakélite noire ou crème polie mat ou brillant selon les désirs du client.
L’Ame Luxe, dernier-né de la gamme de couteaux Claude Dozorme, a été lancé lors du dernier salon Maison & Objet. Une déclinaison luxueuse pour les fameux Clos Laguiole et sommelier Le Thiers® a également été présentée en avant-première à cette occasion.
Claude Dozorme à la conquête de la Chine
Alors que la Maison Dozorme part à l’assaut du marché chinois, sa gérante Claudine Dozorme a décidé de s’entourer d’experts pour accélérer sa démarche commerciale. À ses côtés, Rui Ytournel, une pétillante jeune femme d’origine chinoise installée en Auvergne depuis 2004.
« Je suis arrivée en France en 2004 pour faire mes études. J’ai ensuite travaillé dans une forge et ainsi appris le travail de la matière. », explique Rui. Commerciale export pendant 5 ans, elle décide en 2017 de créer sa société pour accompagner les entreprises du territoire auvergnat dans leurs projets de développement à l’export.
S’ouvrir à l’international pour développer de nouveaux marchés
« J’ai rencontré Claudine Dozorme lors d’un repas de famille car je suis la voisine de ses parents. Mon beau-père est lui aussi coutelier près de Thiers. Elle m’a alors invitée à visiter son usine et j’ai trouvé ses produits très réussis. », se souvient Rui. Les deux femmes échangent, la complicité s’installe… Rui accompagne Claudine sur des salons tels que Maison & Objet à Paris et Ambiente à Franckfort. Ensemble, elles partent ensuite une semaine en Chine pour aller à la rencontre de prospects, s’imprégner de la culture, des us et coutumes et ainsi identifier les possibilités d’exploitation commerciale.
Aujourd’hui, Rui développe des dispositifs liés à l’export et organise les prises de contacts sur le terrain. « En début d’année, j’ai créé un compte Wechat pour la marque Claude Dozorme. C’est une application utilisée par quasiment toutes les entreprises ainsi qu’une grande majorité de Chinois. Là-bas, on échange nos comptes Wechat plus facilement que nos cartes de visite. »
Exporter l’art de vivre à la française : entre challenges et opportunités
Qu’on se le dise, commercialiser des couteaux dans un pays où l’on mange avec des baguettes est un sacré challenge. Mais la marque peut se reposer sur le made in France qui a toujours le vent en poupe, comme l’explique Rui : « La France possède une bonne image auprès du public chinois qui assimile le fabriqué en France aux grandes marques de luxe et autres produits haut de gamme. Notre cible : les professionnels et hôtels-restaurants 5 étoiles. Des particuliers aussi commencent à s’intéresser aux arts de la table et achètent de plus en plus de sommeliers, sabres à champagne. »
Autre atout et pas des moindres : la Manufacture Claude Dozorme est capable de fabriquer des pièces uniques, personnalisées et sur-mesure et ce, en petites séries. « C’est ce qui plaît aux Chinois. », confie Rui avant de poursuivre : « Les Chinois sont également très sensibles au design. C’est un argument de vente très fort qui permet à la marque de se positionner plus facilement sur le marché. »
Restitution des premières œuvres de Charlotte Charbonnel, en résidence chez Claude Dozorme
Jeudi dernier, le 20 juin 2019, Charlotte Charbonnel, l’artiste parisienne en résidence chez Claude Dozorme depuis le début de l’année, a dévoilé ses premières pistes créatives, fruits de ses séances de travail au sein de la coutellerie. Une première restitution en attendant l’exposition complète issue de son travail sur les métaux, prévue en juin 2020.
Baptisée Nucleus et installée dans la Grotte du centre d’art contemporain Le Creux de l’enfer, cette installation met en scène de multiples flèches réalisées à partir des squelettes de métal damassé, avec l’aide des employés de la manufacture thiernoise. Installation empreinte des dioramas du XIXe siècle (reproduction des scènes de la vie sauvage), elle illustre une scène de chasse grandeur nature. Fichées dans la roche ou suspendues les flèches, objets à la fois précieux et quasi-primitifs, campent l’image stupéfiante et archaïque d’une attaque suspendue, arrêtée dans son élan.
Utilisant la technique complexe du damas, Charlotte Charbonnel a également testé plusieurs expériences d’assemblages, de découpes et de révélation. Ces expérimentations sont à admirer dans son œuvre Fulgure, exposée également dans la Grotte.
Le vernissage s’est déroulé au centre d’art contemporain, Le Creux de l’enfer en présence de nombreux invités dont Claudine Dozorme et son équipe venue en nombre découvrir l’œuvre de Charlotte Charbonnel. Il faut dire que comme le souligne Claudine Dozorme « l’équipe s’est révélée au contact de Charlotte. Semaine après semaine, ils l’attendaient. Ils se sont montrés très généreux envers elle et ont su répondre à toutes ses attentes techniques. C’est une très belle expérience qui permet de montrer d’autres aspects de la coutellerie et de valoriser différemment le bassin thiernois ».
Nucleus et Fulgure de Charlotte Charbonnel, des œuvres à la fois puissantes et poétiques à découvrir jusqu’au 22 septembre 2019 au Creux de l’enfer.
Infos techniques
Nucleus
Dimensions variables
Année de conception : 2019
Matériaux : acier damassé, laiton, pompe et dispositif sonore
Fulgure
5 cm x 200 cm
Année de conception : 2019
Matériaux : acier damassé
Charlotte Charbonnel en résidence chez Claude Dozorme
Depuis le 14 février 2019, la coutellerie Claude Dozorme accueille en ses murs l’artiste Charlotte Charbonnel.
Ce projet s’inscrit dans le programme « Résidences en entreprise » mis en place par le ministère de la Culture en 2014 et piloté par les DRAC (Directions régionales des affaires culturelles). 15 résidences se déploient aujourd’hui dans toute la France dont 3 en région Auvergne-Rhône-Alpes et dont la vocation est de réunir structure culturelle, artiste et entreprise.
A Thiers dans le Puy-de-Dôme, c’est sous l’impulsion de Michel Prosic, ancien sous-préfet de Thiers et actuel Directeur régional de la DRAC, que ce projet a été initié entre Charlotte Charbonnel, la coutellerie Claude Dozorme et le Creux de l’enfer, centre d’art contemporain.
Une résidence initiée par le Creux de l’Enfer
C’est au cœur de la Vallée des Usines, le long de la Durolle, que se situe le centre d’art contemporain, Le Creux de l’enfer dirigé depuis le 8 mars dernier par Sophie Auger-Grappin. Cette dernière a immédiatement été intéressée par le projet de résidence d’artiste qui répond aux nombreux objectifs qu’elle s’est fixée : valoriser le tissu socio-économique du territoire, faire se côtoyer art contemporain et artisanat, technicité et connaissances scientifiques et enfin, faire reconnaître le site à un niveau national.
La rencontre avec Claudine Dozorme l’a d’emblée confortée dans le choix de la résidence au sein de la coutellerie « Claudine a immédiatement manifesté son intérêt à accueillir Charlotte Charbonnel tout en la laissant libre de ses mouvements et de ses actes. Il faut en effet pouvoir faire confiance à l’artiste, qu’il puisse développer son propre travail sans être instrumentalisé. Pour l’artiste, il fallait trouver quelqu’un d’ouvert, de curieux et capable de travailler en collaboration car pour qu’une résidence fonctionne, il faut que les 2 parties soient dans le dialogue, qu’elles communiquent. Avec Charlotte Charbonnel, artiste protéiforme très cultivée et très curieuse, le projet s’annonçait sous les meilleurs auspices ».
La coutellerie, un nouveau terrain d’expérimentation pour Charlotte Charbonnel
Pour cette première résidence en entreprise, Charlotte Charbonnel sort de sa zone de confort. Habituée à créer une œuvre en partant d’une idée, elle fait ici le chemin inverse de son processus créatif.
Elle part du savoir-faire coutelier propre à la manufacture Dozorme et se confronte aux machines et aux hommes pour construire son projet. « A chacune de mes visites, chaque ouvrier prend du temps pour m’expliquer les différents matériaux et étapes de fabrication. Il y a un vrai échange, c’est ultra motivant. Aux côtés de Jérôme Ollier, l’un des ouvriers de l’atelier, j‘ai pu expérimenter la technique de guillochage et d’emboutissage. Il m’a montré les gestes et m’a guidé sur mes premières manipulations. Lui, il vit couteau, respire couteau, ça fait partie intégrante de son ADN. Il ne se rend même plus compte de l’or qu’il a entre les mains ».
Une cohabitation qui fait sens
Les salariés de la coutellerie deviennent dès lors les témoins privilégiés d’un processus de création qui engage un nouveau regard sur leur propre activité et doit contribuer à changer leur perception du monde de l’art.
Une magnifique opportunité pour la coutellerie Dozorme comme le souligne Claudine Dozorme « notre manufacture doit se déconnecter de ses contingences économiques. Elle doit se recentrer sur l’aspect humain. Être là pour favoriser les belles rencontres, valoriser un savoir-faire et fédérer les employés autour d’un projet artistique ambitieux ».
Une belle manière de faire rentrer l’art contemporain dans le monde souvent très cloisonné de l’entreprise.
Le 20 juin 2019, Charlotte Charbonnel exposera ses premières pistes créatives au Creux de l’enfer.
Qui est Charlotte Charbonnel ?
A tout juste 39 ans, Charlotte Charbonnel est une artiste inclassable. À la fois plasticienne, peintre, sculptrice mais également dessinatrice, scénographe, preneuse de son, chercheuse voire même alchimiste, cette diplômée des Beaux-Arts de Tours et des Arts Décoratifs de Paris, n’a de cesse de vouloir tisser des liens invisibles qui unissent les matières élémentaires. Son travail découle d’une recherche empirique à entrées multiples : écoute et capture de matériaux ou de phénomènes naturels, exploration des différents états de la matière, observation méticuleuse de substances insaisissables… Elle trouve ainsi dans les fluides indécis, les ondes capricieuses, les nuées, fumées, ou autres formes brumeuses, un terrain d’expérimentations illimité. Pour cette artiste urbaine qui vit et travaille à Paris, la Nature reste invariablement sa plus grande source d’inspiration. Elle y puise son énergie et sa créativité sans limite au service de ses œuvres.
Au SIRHA à Lyon pour la finale du Trophée du Maître d’Hôtel
Le début d’année démarre sur les chapeaux de roues pour la coutellerie Dozorme !
Après une participation réussie au salon Maison & Objet à Paris, la manufacture familiale met le cap sur Lyon. Direction le Sirha, le rendez-vous mondial de la restauration et de l’hôtellerie !
C’est au cœur de ce temple de la gastronomie dédié aux professionnels que se déroulera la finale de la 2e édition du Trophée du Maître d’hôtel, le samedi 26 janvier. Trophée dont la manufacture est partenaire pour la première fois.
Organisé par l’association Service à la Française, le Trophée du Maître d’Hôtel met à l’honneur le service en salle. Au cours de la grande finale organisée au Sirha, 6 candidats mettront en valeur l’excellence, la tradition et l’innovation du métier à travers différentes épreuves : art du service, savoir être, cocktail, culture professionnelle, sommellerie et boisson. Ils seront soumis à l’œil expert et avisé d’un prestigieux jury composé de plus de 20 professionnels, MOF et autres grands noms du métier, dont Claudine Dozorme.
Les couteaux de la manufacture ne seront pas en reste lors de ce Trophée puisqu’ils seront mis à profit des candidats lors de l’épreuve du pain et de celle autour de la noix de Saint-Jacques.
A l’initiative de ce trophée, 4 passionnés qui agissent quotidiennement pour valoriser les métiers de services et les arts de la table : Denis Férault – MOF Maître d’Hôtel et proviseur du lycée Paul Augier à Nice, Hervé Parmentier – Directeur du restaurant Pierre Gagnaire à Paris, Denis Courtiade – Directeur du restaurant Alain Ducasse au Plaza Athénée à Paris, Stéphane Trapier – Directeur du restaurant La Tour d’argent à Paris et Patrick Chauvin – MOF Maître d’Hôtel et directeur délégué du lycée Albert de Mun à Paris.
Un concours destiné à la valorisation des métiers de la salle et de l’art du service car on ne le répétera jamais assez, l’art de la table est un art majeur !
Mais la manufacture Dozorme n’en restera pas là. Elle sera également présente sur un stand dédié pour faire découvrir toutes ses dernières innovations en matière de couteaux de cuisine ou couteaux de table. Parmi les produits exposés, l’accent sera mis sur sa gamme de couteaux Laguiole by Dozorme et Le Thiers® by Dozorme.
Alors pour en savoir davantage sur l’univers de la manufacture thiernoise, rendez-vous au Sirha du 26 au 30 janvier 2019 !
En pratique
SIRHA
EUREXPO / Lyon
Du 26 au 30 janvier 2019
Stand Dozorme 6D103
Trophée du Maître d’Hôtel
Samedi 26 janvier 2019 – De 14h à 18h
Plus d’infos sur Facebook
Les couteaux Dozorme hôtes de marque de la Tour d’Argent
Qui n’a jamais rêvé de franchir la somptueuse grille en fer forgée qui marque l’entrée de la Tour d’Argent pour passer un moment d’exception dans une maison chargée d’histoire ? Haut-lieu de la gastronomie française, qui a vu passer les plus grands, des têtes couronnées aux rock stars en passant par les chefs d’États, la Tour d’Argent fascine et ne peut laisser indifférent…
Il faut dire que la beauté du lieu, sa vue imprenable sur Paris et sa table gastronomique entre tradition et création en font un lieu des plus prisés.
Dans cet établissement à la renommée internationale, l’art de vivre à la française est érigé comme un art majeur. De l’accueil, au raffinement du décor via la qualité exceptionnelle des mets proposés, rien n’est laissé au hasard. Le service en salle a également ses codes. Fascinant, il demande rigueur et précision. Cette recherche d’excellence, ce souci du détail, ce cérémonial participent à la renommée de la gastronomie française.
C’est dans cette écrin sans pareil que nous retrouvons la griffe de la manufacture Dozorme. Depuis 2 ans, la coutellerie thiernoise collabore avec ce monument du patrimoine national pour la découpe d’un plat emblématique de l’établissement “le canard au sang” ou “caneton Frédéric Delair”. Stéphane Trapier, Directeur du restaurant, explique « Née en 1890 sous la houlette de Frédéric Delair, maître d’hôtel devenu propriétaire au milieu du XIXe siècle, cette recette est intégralement codifiée. Elle requiert une découpe bien spécifique qui nécessite d’avoir de très bons couteaux. Nous avions eu, par le passé, l’opportunité de tester les couteaux de cuisine Dozorme par le biais de la Fédération des Fromagers de France qui collaborent avec la coutellerie. Le tranchant et le design des couteaux Dozorme alliés au savoir-faire inestimable de cette marque centenaire nous ont d’emblée séduit ».
Pour la découpe du « caneton Frédéric Delair », Stéphane Trapier a donc fait le choix de deux couteaux Dozorme aux caractéristiques bien précises : le 1902 et le Haute Cuisine.
Proposé avec son manche en Vallernia, le couteau de cuisine 1902 présente une lame assez rigide qui permet de lever les cuisses. Quant au couteau Haute Cuisine, sa lame plus souple permet un travail de précision, idéale pour lever les magrets.
Ces 2 couteaux Dozorme sont également utilisés pour la découpe de l’agneau de lait ou pour celle du foie gras.
Des couteaux d’exception pour des produits d’exception dans un lieu d’exception !
La Tour d’Argent
15 quai de la Tournelle
75005 Paris
+33 (0)1 43 54 23 31
resa@tourdargent.com
www.tourdargent.com
L’Hôtel Royal***** d’Évian-les-Bains fait la part belle à la coutellerie Dozorme
C’est dans un environnement exceptionnel aux bords du Lac Léman que nous retrouvons les couteaux Claude Dozorme, au sein du très chic et très prestigieux hôtel Royal d’Évian-les-Bains.
Situé au cœur d’un domaine privé arboré de 19 hectares, l’Hôtel 5 étoiles, qui a obtenu le label Palace en 2016, domine les hauteurs d’Evian-les-Bains offrant ainsi une vue imprenable sur le lac Léman et les Alpes françaises et suisses.
Dans ce lieu rare du luxe à la française, les arts de la table ne doivent souffrir d’aucune fausse note. C’est pourquoi, la griffe Dozorme tient le haut du pavé et notamment au cœur du restaurant Les Fresques. Récemment auréolé d’une étoile au Guide Michelin, l’établissement propose une cuisine inventive et raffinée sous la houlette du Chef Patrice Vander. A la carte, on retrouve certains classiques, comme la Daurade sauvage marinée à la mangue, wakamé et caviar Osciètre, la Poularde de Bresse, suprême clouté au foie gras avec fines herbes et vin jaune ou encore les « plats collections ».
Ici, les pièces signées Dozorme s’invitent sur les tables, mais pas en simples couteaux posés à même la nappe. Les couteaux sont proposés au client, savamment mis en scène dans un coffret en chêne. Le client a ainsi le choix entre quatre couteaux de table manufacturés au sein de la coutellerie thiernoise : un Laguiole, un Le Thiers®, un Capucin ou encore un Navette 6.16. Preuve de leur succès auprès d’une clientèle habituée aux produits d’exception, l’établissement propose depuis peu à la vente, dans sa boutique, les 4 modèles de couteaux qui participent à la renommée de la manufacture.
Pour le service du fromage en salle, là encore tout est orchestré dans les règles de l’art. L’établissement a opté pour la gamme complète des couteaux à fromages Dozorme présentée dans une élégante pochette en cuir. Ainsi, qu’ils soient à pâte molle, pressée, cuite, non cuite, persillée ou de chèvre, à chaque fromage, un couteau pour une découpe parfaitement adaptée.
Et le partenariat ne s’arrête pas là ! Prochainement, toute l’équipe de sommellerie sera équipée de sommeliers Dozorme personnalisés à l’initiative de Loïc Chavasse-Frette, chef sommelier.
Enfin, pour approfondir les connaissances coutelières du personnel du restaurant, des ateliers « coutellerie » leur seront même proposés.
Pour Sébastien Caquelard, Directeur des opérations en charge de la restauration « il va sans dire qu’à travers ce partenariat, l’Hôtel Royal est bien plus qu’un simple prescripteur mais un véritable ambassadeur d’un savoir-faire français incarné par la coutellerie Dozorme. Nous sommes très fiers de cette collaboration qui de surcroit est fortement apprécié par notre clientèle. On a de très bons retours sur les couteaux Claude Dozorme. Nous sommes d’autant plus contents que cette collaboration s’est mise en place à la suite d’une visite de Claudine Dozorme, à titre personnel. De façon totalement inédite ! ».
Hôtel Royal*****
Avenue des Mateirons
74500 Evian-les-Bains
+33 (0)4 50 26 50 50
reservation@evianresort.com
www.evianresort.com